Au moins deux raisons majeures m’ont incité à me pencher sur cet acte quotidien et vital qu’est l’alimentation:

Dégradation lente et constante de la qualité des produits alimentaires

À la racine du problème, la surpopulation mondiale, l’immigration incontrôlée en Europe et la réponse apportée: la production industrialisée d’aliments mobilisant les surfaces cultivables tout en les dégradant, diminuant de ce fait la quantité disponible de produits de qualité dont les prix ont atteint des sommets.

L’usage massif déraisonnable de produits phytosanitaires dangereux pour l’humain et encore plus pour la biodiversité cause un appauvrissement des sols. Les plantes n’y trouvent plus tous les nutriments qu’elles ont naturellement à offrir sous une forme complète et assimilable par l’organisme humain.

L’élevage d’animaux de boucherie (l’immense majorité de la viande de « boeuf »  provient en fait de vieilles vaches laitières dites « de réforme » jugées pas suffisamment productives) s’est, lui aussi, industrialisé. Les hormones, antibiotiques ou autres substances utilisés pour accélérer leur croissance se retrouvent dans la viande proposée à la consommation. Par facilité et par économie, ces animaux sont nourris avec des aliments qu’ils ne mangeraient pas naturellement (soja OGM, maïs OGM, céréales, farines de déchets animaliers…). Cette nourriture inadaptée modifie l’acidité de leur système digestif et perturbe ou empêche l’assimilation de nutriments dont certains en sont déjà absents.

Les années passant, les organes du corps humain se mettent à céder face aux agressions répétées d’une alimentation qui les stresse

Avec le temps, toutes sortes de problèmes de santé bénins ou graves, physiques et/ou psychiques, souvent chroniques, finissent par survenir. La mémoire est affectée ainsi que les facultés intellectuelles, les articulations peuvent devenir douloureuse et raides, l’apparence change: apparition de rides, prise de poids, perte de masse musculaire, des cheveux…

Certes, il y a la médecine qui se focalise sur le traitement de symptômes, mais il me paraît plus judicieux de s’attaquer aux causes, à la racine, de chacun des problèmes.